Il y a énormément de structures, des livres, de revues exaltantes que nous imaginons volontiers comme pas très très loin en terme de lecture(s) du monde, de la société.
Lorsque certain.e.s seront étiquetés de trop radicaux, d’autres au contraire passeront pour trop soft : à la bonne heure !

Adak offre ce mois-ci à chacun.e de ses adhérent.e.s le dernier numéro de Nunatak, une petite revue indépendante, auto-diffusée, qui se décrit elle-même comme une « revue d’histoires, cultures et luttes des montagnes » réalisée par un collectif dont les membres sont dans les Alpes, les Cévennes, les Pyrénées et les Vosges.
Certain.e.s d’entre vous la connaissent peut-être, d’autres peut-être pas (auquel cas, il y a un entretien à lire sur Ballast ici-même), mais c’est en tout cas une parution que je tenais à partager avec les adhérent.e.s depuis un moment, sans savoir comment.
Et bien voilà, hop. Et de Nunatak, nous reparlerons bientôt, si si (et merci à la clique Nunatak pour la belle opportunité).

Le numéro 7 de la revue Nunatak comporte une soixantaine de pages, coûte 3 balles en librairies, mais son prix est libre partout ailleurs.